Voici l'avancée de la mise en couleur de la 1ière escouade tactique de Fils du Lion pour mon armée Dark Angels dédiée principalement à la destruction d'Eldar (mon ennemi-ami de toujours...)
Ca commence par une sous-couche noire, puis un pré-ombrage par une zénitale de blanc, et après je pose les couleurs de base.
Comme toujours, vos commentaries et suggestions sont les bienvenues !
Carnet de notes
En vrac, des articles glanés au fils de mes surfs. Un peu de moi pour ceux ou celles que ça intéressent ou qui partagent certaines de ces inspirations.
mardi 11 juillet 2017
jeudi 23 février 2017
Psy / 13 choses que je devrai arrêter de me faire à moi-même. Maintenant !
Arrêtez de mettre vos propres besoins et vos propres envies au second plan.
La pire chose qui soit, c'est de se perdre soi même en aimant trop quelqu'un, et d'oublier que l'on est spécial, nous aussi. Oui, il faut penser aux autres. Mais il faut penser à soi aussi. Le meilleur moment pour poursuivre ses rêves, ses ambitions, ses passions...C'est maintenant.
Arrêtez d'avoir peur de faire des erreurs.
Dites vous toujours que faire quelque chose, et échouer est beaucoup, beaucoup plus productif que de ne rien faire. Chaque réussite a son histoire d'erreurs derrière elle, et chaque erreur guide un peu plus vers la réussite. On finit par regretter les choses que l'on n'a pas tentées bien plus que celles où l'on a échouées.
Psy / 8 façons d’arrêter de trop réfléchir et de trouver la paix
Nous faisons tous de notre mieux pour rester positifs, mais parfois nous pouvons glisser dans un schéma de pensées négatives qui peuvent semer le chaos dans notre vie. Il peut nous arriver de nous soucier de nos erreurs passées ou des contraintes et de réfléchir à la façon dont celles-ci pourraient conduire à des résultats négatifs dans le futur. Il peut nous arriver d’être obsédés ou de sur-analyser les expériences et les interactions régulières, lire en elles des choses qui ne sont pas vraiment là. Dès que quelque chose de négatif se produit, nous l’associons à toutes les mauvaises choses qui sont arrivées dans notre vie et nous commençons à nous sentir misérables. Il nous arrive même d’être anxieux et d’être incapables de prendre du recul pour tout ce qui pourrait mal tourner.
Si vous avez souvent ce sentiment, vous êtes ce que les psychologues appellent un ruminateur, ou quelqu’un qui réfléchit beaucoup trop, et cette façon de penser peut être dangereuse pour votre santé. Des psychologues ont constaté que trop réfléchir peut nuire au comportement humain, et peut provoquer de l’anxiété et une dépression, surtout chez les femmes, qui ruminent beaucoup plus que les hommes sur le stress et les déceptions.
De nombreuses personnes qui réfléchissent trop sont adorables, intelligentes, accordent de l’importance aux relations et prennent bien soin des personnes qui font partie de leur vie. Malheureusement elles repoussent ces mêmes personnes qui s’inquiètent ou qui cherchent un soutien et à être rassurées, car elles peuvent devenir obsessionnelles, anxieuses, déprimées et négatives. Il ne s’agit pas d’un interrupteur dans le cerveau que l’on peut éteindre, mais plutôt d’un schéma qui nécessite un engagement et du travail pour se reprendre en main.
Voici quelques conseils pour savoir comment arrêter de trop penser et trouver la paix dans l’instant présent.
dimanche 12 février 2017
Cinéma / Primaire d'Hélène Angel
Un très bon film sur la relation entre une maîtresse et sa classe, et plus particulièrement sur le risque pour un enseignant de délaisser sa propre vie pour "sauver" les enfants de sa classe.
Sans jamais tomber dans l'excès, la caricature, ni le pathos, Primaire litre plusieurs niveaux de lecture, plusieurs films en un !
On peut y voir un documentaire sur la complexité du métier d'enseignant, avec tous ces termes techniques, ces mots de l'administration, cette "masturbation intellectuelle" que demande l'institution, et la difficulté pour les enseignants confrontés à des enfants, d'appliquer la terminologie académique.
On peut y voir aussi la réelle condition des enseignants, avec la pression des parents, la pression du système, l'angoisse de l'échec, tout cela pour un salaire de misère.
On y suit une enseignante passionnée, qui tente à tous prix d'aider un enfant. Clairement, le sujet de la limite et de la bonne posture d'un enseignant vis à vis de la sphère privée et familiale de l'enfante est abordée.
On suit remarquablement les difficultés que vit un enseignant stagiaire lorsqu’il débute dans cet univers si particulier.
Enfin, on y voit la passion, les émotions, les relations qui se tissent derrière les portes d'une école.
Un bon point à Vincent Elbaz qui apporte la touche de légèreté, et qui permet à l'enseignante principale de comprendre qu'elle doit prendre du recul, qu'elle doit reprendre sa propre vie en main, pour éviter de se perdre.
Les enfants sont merveilleux de vérité, et le fils de l'héroïne est poignant lorsqu'il se plante devant sa mère et qu'il lui tend son cahier de correspondance : "Je voudrai prendre rendez-vous avec ma maman, pour lui parler !". Une grosse claque.
Le voir à Saint Denis, dans un petit cinéma de quartier en compagnie d'une enseignante stagiaire (ma chérie), qui plus est, est néée le 4 janvier, date à laquelle est sortie le film, a apporté la touche d'émotion et de partage supplémentaire à cette belle projection.
Un vrai film juste et précis.
jeudi 2 février 2017
Citations / Sansa Stark
lundi 21 novembre 2016
JdR / Plenilunio - La fin du monde en beauté
Tout est désespéré, et les héros surnagent dans un environnement où des forces cosmiques jouent à un jeu dont l'enjeu est la victoire des ténèbres sur la lumière... Ou l'inverse... Bref bien dark et désespérant !
Rien n'est tranché, et la notion de libre arbitre de l'homme, au milieu de la guerre éternelle entre les anges et les démons, prend là tout son sens... Un peu comme dans le JdR Trinités, ou encore dans des films comme Constantine. Tout est perdu... mais peut-être pas... mais au prix de quels sacrifices ?
En tous cas, moi du moment qu'il y a de l'épique, des êter surhumains, des combats à l'épée et des décors de villes détruites, j'aime. Si en plus vous y mettez du mystique et du manichéïsme, alors c'est la fête à ma table !
Je n'ai pas été déçu, car de surcroit, ce livre m'a ouvert l'univers de Luis Royo et de son fils Romulmo, 2 illustrateurs espagnols qui ont immédiatement fait vibrer mon imaginaire. C'est ça que j'aime dans le jeu de rôle : élargir mon champ de connaissance et de curiosité en allant explorer la littérature, le cinema, l'illustation, la philosophie, l'histoire, etc...
Bon, il est vrai, que les illustrations sont superbes et qu'elles ont un pouvoir d'immersion phenomenal.
Enfin, la mécanique des règles introduit quelques elements originaux, à mes yeux, à savoir que vous allez pouvoir décider du destin de votre personage dès sa création. A vous de savoir ensuite si vous irez à la rencontre de votre destin, ou si vous le fuirez !
Je reprend ici un article du site mythologica, à mes yeux fort bien documenté. (merci à eux de m'autoriser de le diffuser).
Société - Religion / Résistons collectivement à la haine
Je recopie ici un excellent article écrit au lendemain des attentats de janvier 2015, par Abdennour Bidar, philosophe et essayiste connu pour ses travaux sur la modernisation de l'Islam.
A l'époque, j'ai diffusé cet article à tout mon carnet d'adresses. J'y trouvais un apaisement à la colère qui montait en moi, cette "bête immonde" tapie en chacun de nous et qui menace à tous moments de prendre le pas sur la raison, face à des évènements aussi barbares et dérangeants.
J'aime particulière sa philosophie, qui peut se résumer à cette phrase.
"De plus en plus de femmes et d’hommes, dans la plupart des sociétés du monde, ne veulent plus de l’alternative fermée, dépassée, entre la foi en un Dieu et l’athéisme. Ils cherchent le sens de leur vie quelque part à l’intersection pour l’instant introuvable des deux. Hommes sans dieux, mais insatisfaits du vide de l’existence profane. Ou bien hommes de religion, mais insatisfaits de la religion".
J'aime ce genre de pensées qui est l'expression de ma vision de la religion éclairée, loin de l'obscurantisme dans lequel les fanatiques ou les anticléricaux de base la plonce.
Même si cet article nous replonge émotionnellement aux lendemains de jours terribles pour la France et les français, je trouve apaisant et nécessaire de s'y replonger régulièrement pour pouvoir avancer et contribuer, chacun à son niveau, à une élévation des consciences et des opinions.
N'est-ce pas cela le rôle premier d'un philosophe ?
A l'époque, j'ai diffusé cet article à tout mon carnet d'adresses. J'y trouvais un apaisement à la colère qui montait en moi, cette "bête immonde" tapie en chacun de nous et qui menace à tous moments de prendre le pas sur la raison, face à des évènements aussi barbares et dérangeants.
J'aime particulière sa philosophie, qui peut se résumer à cette phrase.
"De plus en plus de femmes et d’hommes, dans la plupart des sociétés du monde, ne veulent plus de l’alternative fermée, dépassée, entre la foi en un Dieu et l’athéisme. Ils cherchent le sens de leur vie quelque part à l’intersection pour l’instant introuvable des deux. Hommes sans dieux, mais insatisfaits du vide de l’existence profane. Ou bien hommes de religion, mais insatisfaits de la religion".
J'aime ce genre de pensées qui est l'expression de ma vision de la religion éclairée, loin de l'obscurantisme dans lequel les fanatiques ou les anticléricaux de base la plonce.
Même si cet article nous replonge émotionnellement aux lendemains de jours terribles pour la France et les français, je trouve apaisant et nécessaire de s'y replonger régulièrement pour pouvoir avancer et contribuer, chacun à son niveau, à une élévation des consciences et des opinions.
N'est-ce pas cela le rôle premier d'un philosophe ?
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